Mi-avril : six mois nous séparent des législatives de 2019, et sept de la présidentielle. Ramadan et les festivals d’été sont aux portes. La campagne officielle n’est pas encore ouverte. Et pourtant, tout se passe comme si l’on y était déjà. «L’impatience» ne gagne cependant pas que la classe politique, et un peu «en conséquence» les médias. Pas les appelés …